Putréfaction ordonnée
Dans le grand ordinateur effronté
La machine sale à l’humeur agressive
	 aux abois régressifs
Glissement évasé
	 dans la ville froide ménagée
En silence en vacance
Comme dans un dessin animé
Les guirlandes à l’huile
Brillantes de sang maquillé
Coulent entre les doigts tous gonflés
Les yeux des pleurs s’égarent
Hagards dans le vide-ordure débordé
Sueur fade dans la nuit sans divine
Les loups du vide hurlent leur acide
Au tournant du visage qui
Lentement déjà s’effrite 
L’éventré du regard est assis dans l’oubli
Délaissé dans sa bulle maladive
Refoulé dans son secret trop terrible
		        Cris poids plumes
… les mots ne savent plus quoi dire